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Un maire qui cherche à améliorer le quotidien des investisseurs de la ZAC et qui dégrade les conditions de vie de ses administrés.
Un nouvel article paru dans la presse locale(var-matin du 29/09/11), nécessite un droit de réponse de l’ADPS sur les bouffées délirantes du Maire en matière d’urbanisme.
Aussi, nous demandons à ce quotidien un véritable droit de réponse afin de dénoncer les dangers pour notre environnement et notre qualité de vie de cette course aux parpaings.
Sa politique est simple : bétonner à tout va pour rentabiliser l’investissement des possesseurs de la ZAC. Il a largement abîmé Rocbaron. Maintenant, il
veut faire de notre commune une vaste zone commerciale sans âme .
Pour le Maire, nous ne sommes rien que des consommateurs en puissance devant aller faire leurs courses au supermarché du coin.
Le seul rêve qu’il fait pour notre commune, c’est d’urbaniser chaque mètre carré afin d’alimenter la ZAC quoiqu’il en coûte en matière d’environnement et d’art de vivre.
Que chacun garde bien à l’esprit que notre Maire n’habite plus Rocbaron depuis fort longtemps et qu’il est dans l’incapacité de prévoir les effets de sa politique démesurée et aveugle en matière d’urbanisme.
M. le Maire qui se gausse, à qui veut bien l’entendre, du terme de « bâtisseur » accepterait-il de voir un lotissement de 500 maisons à proximité de chez lui ? Nous ne le pensons pas.
L’ADPS combat les choix de la municipalité actuelle et accompagnera la mobilisation des habitants contre la « folie bétonnière » du Maire. Dernièrement, la mobilisation des rocbaronnais habitant le village l’a obligé à refuser un permis de construire pour un investisseur de la ZAC à l’affût de bonnes affaires. L’ADPS exige que ces relations invraisemblables cessent car sans ces investisseurs à remercier notre commune vivrait bien mieux.
Sa politique du « sac de ciment » a été stoppée par des riverains ulcérés et fatigués par tant d’irrespect pour la qualité de leur vie quotidienne. Elle a été aussi stoppée grâce à l’action d’autres rocbaronnais auprès du tribunal administratif qui leur a donné jusqu’à maintenant raison. Et, contrairement à ce qu’il affirme, en les montrant du doigt, ils sont plus qu’une poignée à combattre et critiquer son action. Se souvient-il que nous étions près de 40% aux derrières élections municipales.
L’ADPS a eu raison trop tôt. Souvenez-vous lors des dernières élections municipales, nous étions très inquiets alors de l’avenir de notre commune.
L’art de vivre que nous proposions n’est pas celui que nous avons aujourd’hui et que nous construit le Maire pour demain.